Du vendredi 13 avril au mercredi 18 avril 2012
2 formules
 
 
En avril, on rit ( proverbe ) ! 
STAGE DE JEU CLOWNESQUE AU QUAI


Le stage est animé par Mirella Gerber,
formée au jeu clownesque par Carlo Colombaioni, Jango Edwards.


«Être clown est un état. On ne fait pas le clown. On est clown». Pierre Etaix



Ce stage s’adresse à tous les clowns. A ceux qui souhaitent découvrir cet art et à ceux qui souhaitent le perfectionner.

Par des jeux élémentaires et des exercices ludiques, nous allons identifier nos capacités d'expression, déployer notre sensibilité et notre imaginaire, découvrir notre personnage clownesque, son langage et sa fantaisie.

Les improvisations seront autant de voyage pour inventer et découvrir la dynamique du jeu clownesque.
Sans fard et sans artifices, sans fausse pudeur. Sensations garanties !
Au programme:

  • Le jeu d’improvisation et d’interprétation
  • Les jeux de concentration, de recréation, le travail sur les émotions
  • L’écoute de soi, du partenaire et du public
  • Création d’une atmosphère de confiance et de respect où plaisir et travail sont liés

«Pour devenir clown, on ne doit en fait rien apprendre de nouveau,  mais plutôt se souvenir de tout ce que l’on a oublié !». Jango Edwards

Stage adultes, tous niveaux.
Date : vendredi 13 avril au mercredi 18 avril 2012
Horaires : vendredi 13 /04 de 18h à 22h
                 samedi 14/04 et dimanche 15/04 de 10h à 18h
                 lundi 16/04, mardi 17/04, mercredi 18/04 de 10 à 16h  

Lieu : Au Quai , 23 Quai du Hainaut, 1080 Bruxelles
Métro : Conte de Flandre. Tram : 51 arrêt Porte de Flandre

Prix :
Formule 1 : Du 13 au 15 avril (3 jours) :  100 € 
Formule 2 : Du 16 avril au 18 avril (6 jours) :  160 €

Inscriptions et renseignements: 0471/ 126 764 – mirella.ge@gmail.com

Le nombre de place est limité. Les réservations sont prises par ordre d’inscription et de paiement.


«Le clown rassemble toute la condition humaine. Il est chacun d'entre nous. Lorsque l'on rit du clown, c'est de soi que l'on rit. Toutes les misères qui lui arrivent, ce sont nos propres misères». Philippe Rousseaux